Samedi 15 novembre 2024, 4h15. Je me lève et je te bouscule. Tu ne te réveilles pas. Comme d'habitude... Pourtant, il le faut bien! Que tu te réveilles et que tu te lèves... Tu dois me conduire à l'aéroport afin que je prenne mon premier avion pour Paris et ensuite, celui pour l'île de Madiana tel que l'ami Cristoforo Colombo (et non pas Columbo) la nomma le 11 novembre 1493.
Madiana ou Madinina ou tout simplement « l'île aux fleurs ». Un alignement de planètes, inattendu, fait que je dois me rendre en Martinique pour raisons professionnelles, en cette fin novembre 2024. Je prolonge d'une semaine de congés sur place, évidemment.
Comme souvent, je pars accompagné d'un vieux livre gratuit trouvé sur Internet. Cette fois, il s'agit d'un livre de Jules Lucrèce, directeur d'école primaire en 1930, consacré à l'histoire de la Martinique.
Le livre est accessible
ici. Et, pour en savoir plus sur l'auteur, le mieux est sans doute d'aller voir cet article publié sur
antilla-martinique.
Une fois à Orly, j'ai neuf heures devant moi pour en prendre connaissance, m'en imprégner et commencer cette découverte, puisque c'est ma première fois aux Antilles.
A la sortie de l'avion, la chaleur, moite et étouffante, me saisit. Je m'attendais à quelque chose de bien plus tempéré. J'attends les bagages et sort de l'aéroport 45 minutes plus tard. Je rejoins l'agence Hertz. Il est 16:30, quand je sors du parking, le thermomètre de la voiture de location affiche 32 degrés Celsius. L'idée, maintenant, est de ne pas dormir avant minimum 21:00 local.
La première nuit me permet de récupérer du décalage horaire. Au lever, qui correspond aussi à celui de l'astre solaire vers 6:00, je découvre la vue depuis mon balcon et profite de l'instant pour pratiquer 30 minutes de Qigong.
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Vue sur la baie de Fort-de-France |
Après ce vol de presque 10h, hier, j'ai besoin de marcher. Je décide de partir en balade entre Fort-de-France et la plage de Schœlcher pour ensuite revenir et découvrir le centre-ville. Je ne m'attends pas à un parcours pédestre transcendant, juste de quoi me dégourdir les gambettes sur une quinzaine de kilomètres.
Itinéraire de la balade :
Je pars du point bleu matérialisant la position de mon hôtel et suis la trace marquée en rouge sur la carte ci-dessous.
Le profil altimétrique de cette balade est le suivant :
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Fort-de-France |
La première partie du parcours, jusqu'à la plage, m'apprend un certain état de délabrement des infrastructures. Le climat est toujours aussi difficilement supportable pour moi. Je n'ai toujours pas réussi à réguler mon état interne qui ne comprend pas ce qui lui arrive... Arrivé à la plage, un léger filet d'air améliore mon ressenti.
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Plage de Schœlcher |
J'amorce le retour vers le centre-ville aux alentours de 11:30 avec l'idée d'y déjeuner vers 13:00. J'ai un peu de mal à trouver un restaurant ouvert en ce dimanche 17 novembre. C'est chose faite vers 13:30 (Voir les
Coins du Babaz). La ville semble déserte.
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Fort-de-France |
Je reprends ma déambulation, dans cette portion de la ville, en découvrant quelques beaux édifices perdus au milieu des maisons un brin délabrées.
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Bibliothèque Schœlcher |
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Cathédrale Saint-Louis de Fort-de-France |
Je suis sur la dernière partie de mon chemin, quand je tombe sur des éléments que je trouve particulièrement incongrus. Je vois ce MacDo me semblant tout neuf, immense et démesuré pour cette ville dans l'état où elle semble être, avec en point de mire, un peu plus loin, la proue d'un énorme navire de croisière. En remontant vers mon hôtel, cette image me hante toujours. Comme je prends de la hauteur, une autre vient la remplacer.
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Fort-de-France et la pointe Simon qui accueille les navires de touristes |
C'est celle juste ci-dessus, montrant cet énorme building rutilant et brillant de toutes ces vitres, avec, sur la droite, ce navire, et en premier plan, les baraques en tôles ondulées...
Après une semaine de boulot me conduisant à circuler entre Fort-de-France et l'aéroport du Lamentin, j'ai pris le rythme martiniquais. A savoir, réveil vers 5:30, départ au boulot vers 7:00 pour y être vers 7:30. La moindre minute de retard sur cet horaire de départ implique de contribuer à une série d'embouteillages monstres.
Durant la semaine, le groupe auquel j'appartiens à l'idée d'aller dîner à Sainte-Luce, chez Baraq Obama, afin d'être certain d'avoir des langoustes ou des lambis frais (cf photo d'ouverture de ce billet et les
Coins du Babaz). Grâce à eux, je commence à avoir les codes pour trouver les endroits que les Antillais pratiquent. Déguster cette belle et bonne langouste, les pieds dans le sable, a un certain charme.
Carte des itinéraires du week-end :
Je dois dire qu'après ces cinq jours dans la ville et ces faubourgs, je n'ai qu'une hâte, celle de m'échapper dans la nature... Aujourd'hui, samedi 23 novembre, le week-end commence. La journée est consacrée au circuit matérialisé par la trace rouge sur la carte des itinéraires ci-dessus. Je m'échappe par les hauteurs de Fort-de-France et une toute petite route, un peu difficile, compte tenu de sa pente et de son étroitesse qui rejoint la N3. De là, j'arrive au « Jardin de Balata ».
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Jardin Balata |
Sous le ciel azur et la chaleur naissante de cette matinée en Martinique (il est tout juste 9:00), dissimulé entre deux collines verdoyantes, à quelques kilomètres du centre de Fort-de-France, se trouve le Jardin de Balata. C'est un jardin dit « remarquable », un écrin de verdure où la nature se dévoile dans toute sa splendeur. Dès l'entrée, une douce brise chargée de parfums exotiques enveloppe le visiteur que je suis, tandis que des sentiers sinueux, et parfaitement praticables, invitent à la découverte.
Chaque pas ressemble à une belle aventure, chaque recoin dissimule une nouvelle merveille. Les bambous gigantesques se dressent tels des gardiens silencieux, formant un tunnel naturel où la lumière filtre en un jeu d'ombres et de lumières. Plus loin, une myriade de fleurs tropicales explose en une palette de couleurs vives : des hibiscus flamboyants aux orchidées délicates, chaque fleur raconte une histoire ancienne, une légende inscrite, quelque part, dans la mémoire de l'île.
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Jardin Balata |
Le clapotis d'une petite cascade attire l'oreille, promettant une oasis de fraîcheur. En approchant, la végétation s'épaissit, laissant entrevoir un bassin d'eau cristalline, où les fougères géantes et les arums royaux se reflètent dans une harmonie parfaite. Ici, le temps semble suspendu, offrant un moment de quiétude absolue, loin du tumulte du monde extérieur. Un autre trésor se révèle au promeneur, lorsque celui-ci grimpe sur les passerelles suspendues. De là-haut, la vue panoramique sur la canopée est à couper le souffle. Les arbres majestueux déploient leur frondaison en un tapis d'émeraude, tandis que les chants des oiseaux tropicaux résonnent comme une mélodie envoûtante. Chaque note est une invitation à s'imprégner de la magie du lieu.
Je n'ai passé qu'une heure et demie dans ce lieu que j'inscris dans mon imaginaire comme une transformation d'un paradis tropical en un véritable tableau vivant. Chaque élément me raconte l'harmonie entre l'homme et la nature. Une visite ici n'est pas seulement une promenade, c'est une immersion dans un monde où la beauté et la sérénité règnent en maîtres.
Il est temps de continuer cette découverte du Nord-Est de cette île de Madiana. Après être monté un peu plus au nord, je bifurque vers l'Est sur la D1 dans l'optique de rejoindre l'océan Atlantique et la « Côte au Vent ». Je traverse peu de villages ou villes jusqu'au Marigot. Il y a bien quelques habitations disséminées par çi, par là, dans la forêt tropicale.
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Vue sur l'ilet Sainte-Marie |
La Côte au Vent, ce joyau caché de la Martinique, est une symphonie d’éléments naturels en perpétuel mouvement. Ici, l’alizé souffle sans relâche, caressant les flots d’un bleu intense qui viennent se briser avec fracas contre les rochers noirs d’origine volcanique. Les vagues, maîtresses de cette côte, sculptent un paysage sauvage et indompté où chaque cri de mouette semble une ode à la liberté.
Le long de cette côte, les villages de pêcheurs, comme Sainte-Marie ou La Trinité, offrent un contraste saisissant avec l’agitation des vagues. Les maisons créoles, avec leurs toits de tuiles rouges et leurs façades colorées, paraissent autant de refuges paisibles face à l’âpreté des éléments. Là, le temps semble suspendu, rythmé par les allers-retours des pêcheurs et les éclats de rire des enfants jouant sur la plage de sable noir.
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Ilet Sainte-Marie |
Les mornes, ces collines couvertes d’une végétation luxuriante, dominent majestueusement l’horizon. Les fougères arborescentes et les palmiers royaux se balancent doucement sous la brise, tandis que les sentiers sinueux invitent les randonneurs à s’immerger dans une nature préservée. Chaque pas dévoile une nouvelle perspective, un aperçu de la mer infinie ou une cascade cachée où l’eau claire et fraîche chante son éternelle mélodie.
Cette notion de randonnée est un brin mise à mal par la chaleur étouffante et humide qui règne ici, en ce mois de novembre. Pour autant, nous approchons de la presqu'île de la Caravelle et il est bientôt l'heure de trouver où déjeuner. Passer la ville de Trinité et le village de Tartane, nous trouvons le petit restaurant qui va bien (voir les coins du Babaz)... J'écris « Nous » car, en effet, je suis avec un collègue depuis le départ de cette mission en Martinique. Je n'allais pas laisser Guillaume, seul à l'hôtel, durant cette courte pérégrination. Donc ce repas nous permet de nous mettre d'accord sur la randonnée à faire.
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Le sentier dans la mangrove de la presqu'île de la Caravelle |
La presqu'île de la Caravelle est annoncée dans les livres comme une terre de contrastes et de merveilles naturelles. Dominée par le phare historique de la Caravelle, elle s'étend comme une langue de terre entre l'océan déchaîné et les mangroves paisibles. Ici, on nous annonce être dans une forêt sèche. En arpentant le sentier le plus court, de la réserve naturelle, nous découvrons la mangrove verdoyante où les racines s'enchevêtrent dans une danse complexe et silencieuse. Mais ici, tous transpirent. Pas seulement Guillaume et moi. En effet, la terre est gorgée d'eau qui ruisselle dans le sentier boueux et, inondé, par endroit. Parfois, un caillebotis ou un ponton installé par l'homme nous permet de passer sans encombres. Parfois c'est la glissade, et tout ce qui va avec...
Peut-être n'ai-je pas la même notion de forêt « sèche »...

En fin de randonnée, il est 15:30, le temps d'une baignade raffraîchissante dans l'océan, sur la plage de l'Anse de La Brèche, à Tartane. Ensuite, après s'être délassé et raffraîchit avec un jus de fruit frais, délicieux, nous rentrons à l'hôtel à la tombée du jour vers 18:00.
Le lendemain, dimanche 24 novembre, nous explorons le Nord-Caraïbes. C'est le tracé bleu sur la carte des itinéraires. C'est la nationale 2 qui nous conduit. Nous passons Case-Pilote, Bellefontaine, le Carbet et Saint-Pierre.
Saint-Pierre, surnommée « le Petit Paris des Antilles », était autrefois le centre économique et culturel de la Martinique. Installée sur la côte nord-ouest de l'île, cette ville pittoresque baignait, dans les temps jadis, dans une opulence qui attirait les voyageurs du monde entier. Ses ruelles pavées, bordées de maisons coloniales aux façades colorées, résonnaient des éclats de rire des cafés animés, des marchés parfumés aux épices, et des bals somptueux. Cette prospérité fut brutalement interrompue le 8 mai 1902, lorsque la Montagne Pelée, majestueusement perchée au-dessus de la ville, entra en éruption. Une pluie de cendres et de nuées ardentes engloutit Saint-Pierre, laissant derrière elle une scène de désolation. En quelques minutes, ce joyau des Caraïbes fut réduit en cendres, et près de 30 000 âmes périrent.
Aujourd'hui, Saint-Pierre renaît de ses cendres, telle un phénix. Les ruines de son passé tragique côtoient les témoignages de sa résilience.
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Découverte de la Côte Nord-Caraïbes à Bellefontaine |
L'exploration continue. La route se rétrécit bougrement jusqu'à être envahie par la forêt, après le village du Prêcheur. C'est comme si les arbres situés d'un côté de la route voulaient rejoindre ceux situés de l'autre côté, dans une poésie, presque, amoureuse. Chemin faisant, nous arrivons au lieu de visite prévu pour aujourd'hui : L'habitation Céron. Il est tout juste 9:30. le site ouvre à 10:00. Je propose à Guillaume de continuer la route, jusqu'au bout du bitume, afin d'aller à l'Anse Couleuvre.
Plus j'avance, plus je le sens inquiet... En effet, la route, étroite, très pentue et avec de nombreux virages en épingles est à considérer comme difficile. Mon assurance dans la poursuite du chemin et ma manière de conduire semble le rassurer. Pour finir d'effacer ces peurs, je lui précise avoir rouler sur des portions bien pire, à moto, durant mes voyages. Il lâche ses craintes. Nous arrivons bien au bout de la route et de ce monde, où nous trouvons à nous garer.
Pour continuer et découvrir le joyau de l'Anse Couleuvre, il nous faut poursuivre à pied. Ce n'est pas très long. Il suffit de traverser une rivière puis de parcourir quelques centaines de mètres sur les sentiers amenant, soit à la cascade de la rivière Couleuvre, soit à Grand-rivière ( d’ailleurs le seul accès possible à ce village par ce côté de l’île... « I will be back », comme dirait le terminator, dans le prochain épisode à venir). Ce chemin serpente à travers une forêt dense de fromagers, de bambous géants et de fougères arborescentes, créant une atmosphère quasi mystique, où la lumière joue avec les feuillages pour former des motifs changeants sur le sol.

L'anse Couleuvre est un lieu où la nature se déploie dans toute sa splendeur sauvage, offrant un tableau à la fois paisible et puissant. Nichée tout au nord de la Martinique, cette baie semble être un secret bien gardé, un écrin de verdure bordé par une mer d'un bleu profond, où les vagues viennent lécher doucement le sable noir d'origine volcanique. La présence des cocotiers finalise le contenu de la carte postale.
La plage elle-même, avec son sable noir scintillant, est un contraste saisissant contre la mer turquoise. C'est un lieu où le temps semble s'arrêter, où les seuls bruits sont ceux de la nature...
Il est facile de se perdre dans la contemplation de l'horizon, où le bleu du ciel et celui de la mer se confondent à l'infini.
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Anse Couleuvre |
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Anse Couleuvre |
Mais l'anse Couleuvre n'est pas seulement un havre de paix, elle porte aussi les traces d'une histoire riche et parfois tumultueuse. Les ruines d'une ancienne plantation de canne à sucre, cachées dans la végétation, racontent l'époque où ces terres étaient le théâtre d'une activité intense, avant que la nature ne reprenne ses droits. Ces vestiges, envahis par la jungle, ajoutent une dimension poignante à ce lieu déjà chargé de mystère et de beauté.
En repartant - non sans mal car la foule arrive et nous croisons, avec difficulté, plusieurs véhicules - nous nous arrêtons aussi à l'Anse Céron juste avant de revenir à notre lieu de visite, la fameuse « habitation Céron ».
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Anse Céron |
L'Habitation Céron est une perle historique nichée au cœur d'une végétation luxuriante, offrant un voyage presque magique à travers son jardin enchanteur. Lui aussi est classé jardin remarquable. Cette ancienne plantation de canne à sucre dévoile les vestiges d'un passé riche en histoire et en culture, tout en invitant les visiteurs à se perdre dans la sérénité de son environnement naturel. C'est là que réside le contraste magnifique avec le jardin Balata, niché et agencé au cœur de la ville. Ici, tout n'est que nature sauvage. En tout cas, tout le laisse paraître. Mais peut-être n'est-ce-pas aussi sûr...
En pénétrant sur le domaine de l'Habitation Céron, je suis immédiatement frappé par la majesté des arbres centenaires qui bordent le chemin. Le fromager géant, emblème du site, se dresse comme un gardien silencieux, ses racines imposantes s'enfonçant profondément dans le sol, témoignant des siècles écoulés. Ce géant végétal n'est qu'un prélude à la beauté sauvage qui nous attend dans le jardin tropical.

Le jardin de l'Habitation Céron est un véritable Eden botanique, où les plantes exotiques et indigènes cohabitent harmonieusement. Les allées ombragées serpentent à travers une profusion de fougères arborescentes, d'hibiscus colorés et de palmiers majestueux. Chaque recoin du jardin révèle une nouvelle surprise : une cascade cachée, un bassin de nénuphars où les grenouilles coassent joyeusement, ou encore un pont de bois menant à une clairière paisible.
Les ruines de l'ancienne sucrerie, avec leurs murs de pierres moussues et leurs arches élégantes, racontent une histoire de labeur et de résilience. Ces vestiges sont autant de souvenirs d'une époque où l'industrie sucrière prospérait, laissant aujourd'hui place à un sanctuaire de paix et de réflexion. Presque, je m’imagine le bourdonnement des machines, le parfum sucré de la canne fraîchement coupée, et les voix des travailleurs résonnant à travers les champs.
L'Habitation Céron n'est pas seulement un lieu de mémoire, c'est aussi un havre de biodiversité. Les efforts de conservation et de préservation menés sur le site sont visibles dans la richesse de la faune et de la flore. Les oiseaux tropicaux aux plumes éclatantes, les papillons multicolores et les petits mammifères qui peuplent le jardin ajoutent une dimension vivante et dynamique à ce lieu déjà magique.

Le restaurant du lieu (dont j’ai entendu grand bien via une émission de télévision récente) est malheureusement fermé aujourd'hui. Nous ne déjeunerons pas ici. Il est, de toute façon, à peine 11:15. C'est le moment de repartir en direction de la Montagne Pelée, cette fois. Il nous faut d'abord revenir sur nos pas avant de bifurquer vers l'Est à Saint-Pierre et vers le Nord à Morne-Rouge. Plus on monte, plus la météo se gâte. La brume s'installe et la pluie arrive doucement. Je m'y attendais, car l'horaire est plutôt mal choisi. Etre ici vers 7:00 serait plus judicieux pour voir au loin. Peu nous importe, il est l'heure de déjeuner et nous avons repéré une auberge en montant, c'est l'auberge de la Montagne Pelée.
Après déjeuner, nous prenons la route du retour à Fort-de-France et à l'hôtel. Nous rejoignons, d'ailleurs, la portion de la route empruntée hier au début de notre circuit de visite.
Cette promenade enchanteresse termine ce joli week-end et ce premier contact à Madiana. La semaine qui suit se consacre, encore, à notre labeur à l'origine de cette parenthèse inattendue.
Sources et crédits de cet article :
Les randonnées de la presqu'ile de la Caravelle :
villaveo
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